Le SHIATSU
Le Shiatsu est une pratique de soin non conventionnelle japonaise mise au point au Japon au début du 20 ème siècle sur la base de la médecine traditionnelle japonaise, du massage Anma et des techniques ostéo-articulaires occidentales.
Il consiste principalement à faire des pressions avec les doigts (Shi Atsu = pression des doigts) sur les trajets des méridiens d'acupuncture ou à procéder à des mobilisations visant à libérer des zones en tension.
Son objectif est l'accompagnement vers un équilibre physique et mental.
Il ne se substitue pas à une consultation médicale ni à un traitement.
A QUEL MOMENT ?
Dès que vous ressentez le besoin de prendre soin de vous, que des inconforts apparaissent.
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Comme dans toutes les sagesses d'Asie, la prévention reste le maître-mot.
le sôtaï
Le Sôtaï est une méthode par le mouvement développée par Keizo Hashimoto (médecin japonais) dans les années 70 et qui vise à provoquer une relaxation musculaire en harmonisant la respiration et les mouvements du receveur.
Cette technique neuro-musculaire permet d’analyser le mouvement, de trouver facilement la restriction d’amplitude et de la corriger, elle est absolument sans douleur car elle s’exécute dans la direction la plus facile.
J’ai appris cette technique auprès de Maitre Iroshi Iwaoka, qui a créé la méthode Sôtaï Thérapie (http://www.sotai-therapie.com/).
A ce travail, s’ajoutera ensuite la palpation des zones en tension et un Shiatsu le mieux adapté pour répondre aux besoins du receveur.
LA MOXIBUSTION JAPONAISE
Il est intéressant parfois de compléter le Shiatsu par de la moxibustion.
La moxibustion directe : OKYU
Le cône d’armoise est élaboré à la main puis appliqué directement sur la peau.
Cette technique est couramment appelée moxibustion grain de riz en référence à la petite taille du cône et demande une bonne dextérité.
Ma pratique est issue de l’enseignement de Iroshi Iwaoka de l’école myo-énergétique (style Sawada).
La moxibustion indirecte (sans contact) : ONKYU
On utilise pour cela, des cigares d'armoise (bâtons de moxas) qu’on approche du point à stimuler.
Ils produisent la température idéale de traitement.
